Facsimilés artisanaux
Jeux de cartes de collection
contrecollés à l'ancienne
Réalisés à partir de jeux de cartes d'époque, les
facsimilés sont imprimés en quadri- chomie, puis contrecollés à
l'ancienne en triple-couche. Afin de
conserver le toucher des anciens jeux, les cartes restent non- vernies.
Pour une parfaite
homogénéité,
les motifs des dos ont été entièrement restaurés. Par souci de
fidélité, les coins se
présentent carrés, et peuvent
être par commodité arrondis
sur demande.
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Originellement publié en 1760, le tarot de Nicolas
Conver se
présente ici dans son édition plus tardive, que l'on situe aux
alentours de 1880. Les bois originaux ayant fortement vieillis, le
dessin s'en trouve affecté par endroits si bien que quelques traits
s'en trouvent partiellement effacés. La mise en couleurs a été réalisée
selon la
palette typique de la fin du xıxe
siècle (reprise quelques
cinquante ans
plus tard par Grimaud pour son célèbre Ancien
tarot de Marseille). On y trouve ainsi un beau rose,
accompagné de trois teintes
vives (rouge, jaune et bleu), à laquelle vient s'ajouter un vert olive,
obtenu par
superposition des deux dernières.
nombre de cartes : 22 + 1 (deux de denier) cartes : triple couche à l'ancienne dos : écossais dimensions : 60 mm × 120 mm délai de réalisation : 20 jours ouvrés (ensemble de 78 cartes réalisable sur devis) Quelques articles relatifs à ce tarot Histoire du tarot de Nicolas Conver D'autres palettes pour le tarot de Conver L'influence du tarot de Nicolas Conver |
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Gravé au début du xıxe
siècle, le tarot de Jean Jerger
est à l'origine de l'expression « Tarot
de Besançon », jeu dans lesquels le Pape et la Papesse
sont remplacés par Junon et
Jupiter. Le nom du
cartier (dont la mention est obligatoire à partir de 1808) a été
typographié sur chaque atout : « France, J.
Jerger » ainsi que sur le
Chariot « JI / AB » et sur le deux de coupe
« Tarots fins
faites par J. Jerger, fabricant carts (sic) à Besançon ». Les
couleurs
appliquées au pochoir offrent une palette atteignant sept teintes, dont
trois bleus différents, répartis sur l'ensemble des cartes
et un brun sombre, employé uniquement pour la bure
de l'Ermite, ici nommé le
Capucin.
nombre de cartes : 22 + 1 (deux de coupe) cartes : triple couche à l'ancienne dos : rose, style éponge format : 66 mm × 123 mm (260 g/m²) délai de réalisation : 20 jours ouvrés Quelques articles relatifs à ce tarot Interpréter le tarot de Besançon (1925) Interpréter le tarot de Bes.. (mythologie) Un autre tarot qui atteint sept teintes |
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Édité sous le nom de Tarot italien à la fin du xıxesiècle,
ce jeu est en réalité un tarot de facture française. Il a d'abord été
produit par le cartier parisien Lequart qui en a fait une version au
pochoir aux teintes agressives. En 1891, Grimaud acquiert le
fond
Lequart et poursuit l'édition du tarot italien. Il lui apporte une
nouvelle âme, en lui adoucissant la palette de couleurs et en
augmentant le nombre de teintes pas un subtil jeu de tramages novateurs
pour l'époque.
nombre de cartes : 22 + 1 (deux de denier) cartes : triple couche à l'ancienne dos : brun style éponge dimensions : 70 mm × 125 mm délai de réalisation : 20 jours ouvrés (ensemble de 78 cartes réalisable sur devis) Quelques articles relatifs à ce tarot Histoire du tarot italien (Lequart-Grimaud) Influences du tarot de Lequart Une variante artisanale |
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